« (…) ils doivent intriguer, quelle que soit la manière.
Mais cette contrainte d’intrigue est due à la beauté, vous l’avez dit,
aux puissances d’émotion inattendue qui dorment dans les couleurs,
les surfaces, les lignes. C’est encore l’artiste, dans le graphiste,
qui ne peut pas s’empêcher de les réveiller, de déchaîner
le potentiel inépuisable d’évènements sensibles. »
J.-F. Lyotard
Jean-François Lyotard, Intriguer ou le paradoxe du graphiste, préface pour le catalogue de l’exposition
Vive les graphistes ! (Centre Georges Pompidou), 1990